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vendredi 4 février 2011

De déboires en déboires L'UDPS est-elle l'ennemie d'elle-même ?

La démocratie et l'Etat de droit dans les pays du Tiers monde en général et de l'Afrique en particulier, que ce soit l'Afrique noire ou l'Afrique blanche, sont encore des concepts abstraits et caricaturaux. Cela parce que les anciennes puissances impérialistes colonisatrices ont décolonisé le continent sans le décoloniser.

Après la Tunisie, l'Egypte et le Yemen Dictateurs : à qui le tour ?

Presque abandonné par l'armée qui a décidé de ne pas tourner les armes contre des populations civiles, le Président égyptien Hosni Moubarak en était réduit, mardi soir dans un discours à la nation,  à supplier son peuple de le laisser terminer son mandat qui expire au mois de septembre.

Billet gardons nous

Lorsqu'on est soucieux de l'avenir, on ne peut pas ne pas lire les événements qui se déroulent chez nous à l'aune de ceux qui se passent en Côte d'Ivoire - parce que nous sommes entrés dans une année électorale. Mais aussi en Tunisie, en Algérie et depuis peu en Egypte parce que, malgré les multiples chantiers qui ont été ouverts dans ces pays par leurs dirigeants, les populations crient famine, dénoncent la pauvreté, la maladie et la mort.
Prétendre que les Congolais sont un peuple heureux serait un dangereux mensonge. Penser qu'ils ne s'interrogent pas sur ce qui se passe ailleurs serait pire que naïveté. Croire que cela n'arrive qu'aux autres serait rêver debout.
Depuis le début de l'année, la majorité n'arrête pas de multiplier des initiatives vécues par certains d'entre nous comme une humiliation. Mais puisque persévérer dans le mal est diabolique, alors gardons-nous d'aller de provocation en provocation. Une étincelle est si vite allumée.

En attendant l'impossible dialogue Udps : la guerre des statuts n'a pas eu lieu Mais le pire pourrait être à venir

Plus de peur que de mal. La fille aînée de l'opposition congolaise a fini par obtenir, mercredi dernier, la légalisation de ses statuts modifiés après le congrès du mois de décembre 2010.  Mais cela n'a pas été sans difficulté, le parti d'Etienne Tshisekedi ayant joué à se faire peur alors que ses militants étaient prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, leur parti et leur chef.

La ville a failli brûler le week-end dernier Que s'est-il passé à Butembo ?

Selon plusieurs sources locales, la ville de Butembo était en ébullition jeudi dernier dans la soirée. Des jeunes qui ont tenté de manifester en ont été brutalement empêchés par l'armée et la police. Selon les mêmes sources, ces jeunes voulaient récolter des signatures contre la révision constitutionnelle initiée par la majorité et adoptée début janvier, en l'absence de l'opposition,  par le parlement réuni en congrès.

Climat des affaires Les postes frontaliers dans le collimateur de Muzito Le décret présidentiel tarde toujours à être appliqué

Entouré des ministres des Finances Matata Mponyo, et des Transports et Communications, Marie-Laure Kawanda qu'accompagnaient les Directeurs généraux de la RVA, de la DGM, de l'OCC ainsi que les responsables des services de sécurité civile et militaire, le Premier Ministre Adolphe Muzito a effectué la semaine dernière une tournée d'inspection dans quelques postes frontaliers de la ville de Kinshasa. Etaient au programme le Beach Ngobila, le port Baramoto autrement appelé Ndolo Libongo, ainsi que l'aéroport International de Ndjili.
 

CPI Callixte Mbarushimana comparaît le 4 juillet

Le Rwandais Callixte Mbarushimana, 47 ans, secrétaire exécutif des Forces démocratiques de libération du Rwanda (Fdlr), qui a connu son transfèrement à La Haye le 25 janvier dernier suite à un mandat d'arrêt de la CPI exécuté par les autorités françaises a comparu pour l'audience préliminaire le vendredi 28 janvier dernier.
Selon des informations livrées lors d'un point de presse animé le même jour par le responsable de la communication de la CPI en Rdc, Paul Madidi, le prévenu a d'ores et déjà plaidé non coupable.

Perspectives économiques L'optimisme prudent de Matata Ponyo

Tous les observateurs l'ont dit et répété : l'année 2011 n'a pas démarré sous de bons auspices avec un cadre macro-économique qui a tendance à vaciller. Un phénomène récurrent qui a  autrefois justifié la mise en place, autour du Premier Ministre, fin 2008, d'une cellule de crise chargée de suivre le comportement des principaux indicateurs et, dans la foulée de celle-ci, l'avènement du Comité de politique monétaire que pilote le gouverneur de la Banque Centrale du Congo.

Face à la volatilité du marché Le CPM prône la prudence et le respect du plan de trésorerie

Si le Comité de Politique Monétaire s'est félicité au cours de sa dernière réunion, d'une certaine accalmie " accalmie " sur le marché des changes au 28 janvier, c'est parce que des tendances au dérapage avaient été observées. Mais c'était aussi pour saluer le succès récolté par " les deux interventions réalisées par la BCC, destinées à contrer la volatilité qui a prévalu au cours de deux premières semaines de l'année ".

L'UDPS est-elle l'ennemie d'elle-même ?

La démocratie et l'Etat de droit dans les pays du Tiers monde en général et de l'Afrique en particulier, que ce soit l'Afrique noire ou l'Afrique blanche, sont encore des concepts abstraits et caricaturaux. Cela parce que les anciennes puissances impérialistes colonisatrices ont décolonisé le continent sans le décoloniser. Elles sont parties sans partir, la mort dans l'âme. Elles ont gardé la mainmise sur leurs anciennes possessions coloniales, par procuration. Elles ont institué une nouvelle forme de colonialisme qui impose aux peuples des dirigeants au détriment des leaders populaires, patriotes, nationalistes, jugés hostiles à la protection de leurs intérêts mais soucieux de l'avancement de leurs pays et du bien être des peuples.

Entretien avec Afrikarabia Le RADER Auguste Mampuya : "Seul Tshisekedi peut battre Kabila"

Auguste Mampuya, président du Rader (Rassemblement des Démocrates pour la Rupture et le Renouveau) estime que les chances d'une victoire d'Etienne Tshisekedi à la présidentielle de 211 sont "très sérieuses". C'est du moins ce qu'il dit dans un récent entretien avec Afrikarabia. Selon le président du Rader, la modification du mode de scrutin n'est pas un handicap pour le candidat de l'Udps. L'élection présidentielle à un seul tour serait même "plus favorable à Tshisekedi, devenant l'unique candidat ralliant tous les leaders importants de l'opposition".