La Commission Electorale Nationale Indépendante et la Mouvance Présidentielle sont rattrapées par la réalité dont elles se cachaient et prises à leurs propres pièges. Les prémices de l’illusion des élections organisées dans un climat apaisé n’ont pas tarde à se manifester d’entrée de jeu de la campagne. Une campagne forcée, précipitée et sanglante. La CENI fonce éperdument dans le brouillard pour échouer dans le mur.