Bien que divergents apparemment quant à l’approche de la désignation d’un seul candidat de l’opposition à la présidentielle, le bloc de Fatima et le groupe de Sultani ont étrangement un trait commun qui consiste à lier les mains du futur Président de la République. Même le Premier ministre sera à la merci du parlement dont la majorité ne sera pas de son obédience. A première vue on prendrait cela pour un raisonnement absurde.
