Il y avait ces images d’autrefois. Cette tragédie humaine qui avait poussé des Congolais à l’exil dans leur propre pays. Il y avait ces colonnes humaines qui s’étendaient à l’infini, le long du serpent de rail qui s’enfonçait inexorablement dans la jungle. Il y avait ces nombreuses croix qui jonchaient la route de l’exode, ces morts sans sépulcre.