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mardi 9 novembre 2010

Charles Sanlaville,président de la BIAC

Comme toutes les banques locales congolaises, la BIAC est tenue de s’allier avec un partenaire financier étranger de référence. Son président, Charles Sanlaville, lève un coin du voile sur le profil du futur partenaire.

(Les Afriques 08/11/2010)

Charles Sanlaville : « Nous sommes présents sur ce marché congolais depuis 40 ans exactement. Nous avons, à la fois, beaucoup d’expérience et le dynamisme de la jeunesse, car notre banque est jeune, la moyenne d’âge est de 32 ans. »

Les Afriques : La BIAC, qui se développe bien en RDC, a-t-elle des ambitions régionales, comme ses consœurs BOA ou BGFI, qui viennent de s’installer à Kinshasa ?

Charles Sanlaville : L’exigence de la Banque centrale congolaise, à l’initiative du FMI, est d’associer un partenaire bancaire étranger de référence à toute banque locale. A notre niveau, nous n’échappons pas à cette règle, c’est pourquoi des